Pour assurer la sécurité de toutes et de tous, le Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB) ferme parfois ses écoles et ses centres.
Lorsque c’est le cas, il avise élèves et parents de différentes façons :
- Message sur la page d’accueil du site internet
- Messages sur Facebook et Twitter
- Message sur la boite vocale
- Courriel aux parents
- Avis aux principales stations de radio et de télévision. L’information est généralement mise en ondes une demi-heure après avoir été transmise, mais le CSSMB n’a aucun contrôle sur la diffusion.
Le parent est responsable de s’assurer que l’école est ouverte avant d’y déposer son enfant ou de lui permettre de partir à pied.
Toutes les activités sont alors suspendues dans toutes les écoles et tous les centres, ce qui inclut les activités des services de garde. Les services administratifs restent disponibles, mais à distance.
Pourquoi fermer les établissements?
Lorsque le CSSMB ferme ses établissements, il le fait après avoir consulté, entre autres :
- les transporteurs scolaires qui surveillent l’état des routes ;
- les autres centres de services scolaires montréalais, de même que les deux commissions scolaires anglophones couvrant le territoire du CSSMB ;
- les avis d’Environnement Canada.
Les conditions climatiques, réelles ou prévues, dictent habituellement une fermeture, en raison de leur impact sur le transport scolaire et la sécurité des élèves; plus de 19 000 élèves se rendent à l’école en autobus, scolaires ou municipaux, ou en berline.
Les établissements anglophones situés sur le territoire du CSSMB ferment parfois, alors que ceux du CSSMB restent ouverts. Cela arrive lorsque les intempéries sont plus fortes sur une portion du territoire d’une commission scolaire anglophone se trouvant à l’extérieur de l’Île de Montréal.
Quand la décision est-elle prise?
En général, le CSSMB prend sa décision tôt le matin, au plus tard à 5 h 45.
Ces heures de classe sont-elles perdues?
Au primaire et au secondaire, deux journées pédagogiques sont prévues après le 15 avril. Cela donne aux établissements la marge de manœuvre nécessaire pour compenser les journées perdues en cas d’intempéries.
À la formation professionnelle et à l’éducation des adultes, l’horaire est modifié pour rattraper le temps perdu.